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Un chablis biodynamique et nature, à l’équilibre parfait entre rondeur et tension minérale. Plus d'info
Les Terroirs de Béru, ce sont des parcelles situées aux abords de la vallée de Béru, à une altitude de 300 mètres et qui bénéficient d’un micro-climat spécifique. Elles s’étendent sur des sols argilo-calcaires typiques du Kimméridgien, qui regorgent d’huîtres fossilisées, apportant une minéralité caractéristique aux vins. Les chardonnays plantés dans les années 1980 sont cultivés en bio depuis presque 20 ans, puis en biodynamie depuis 2011. Et ce, pour préserver les micro-organismes présents dans le sol. Les labours au cheval ont également été réintégrés.
Au chai, la vigneronne privilégie également le naturel, avec des vinifications sans soufre et des élevages longs en foudres, barriques ou amphores qui s’étendent sur deux hivers. Ce travail de précision donne naissance à un vin au nez d’abord discret qui révèle, à l’aération, des parfums d’agrumes, de fleurs blanches et une touche miellée. La bouche bien mûre, presque grasse et équilibrée par une acidité tendue, et une minéralité calcaire qui s’allonge en une finale mentholée. Voici un beau chablis, complexe et salivant, à apprécier avec des fruits de mer ou un poisson grillé.
Chablis Terroirs de Béru Château de Béru se sert à une température de 10°C. Il s'accordera parfaitement avec les plats suivants : Plateau de fruits de mer, Huîtres gratinées, Daurade au four.
Les Terroirs de Béru, ce sont des parcelles situées aux abords de la vallée de Béru, à une altitude de 300 mètres et qui bénéficient d’un micro-climat spécifique. Elles s’étendent sur des sols argilo-calcaires typiques du Kimméridgien, qui regorgent d’huîtres fossilisées, apportant une minéralité caractéristique aux vins. Les chardonnays plantés dans les années 1980 sont cultivés en bio depuis presque 20 ans, puis en biodynamie depuis 2011. Et ce, pour préserver les micro-organismes présents dans le sol. Les labours au cheval ont également été réintégrés.
Au chai, la vigneronne privilégie également le naturel, avec des vinifications sans soufre et des élevages longs en foudres, barriques ou amphores qui s’étendent sur deux hivers. Ce travail de précision donne naissance à un vin au nez d’abord discret qui révèle, à l’aération, des parfums d’agrumes, de fleurs blanches et une touche miellée. La bouche bien mûre, presque grasse et équilibrée par une acidité tendue, et une minéralité calcaire qui s’allonge en une finale mentholée. Voici un beau chablis, complexe et salivant, à apprécier avec des fruits de mer ou un poisson grillé.
Le vignoble de Béru, situé en plein cœur de la région chablisienne, trouve son origine au XIIIème siècle. Cette propriété s’étend sur de prestigieuses parcelles de l’appellation Chablis et Chablis Premier Cru. C’est le cas du magnifique clos Béru. Délimité par des murs historiques, et s’étendant sur cinq hectares, au sein d’un terroir tout à fait exceptionnel, composé d’un sol argilo-calcaire et d’huitres fossilisées, et jouissant d’un incroyable microclimat sur le versant sud d’une colline, à 300 mètres d’altitude, ce clos est planté exclusivement de chardonnay.
En 2005, Athénais de Béru, qui travaillait alors dans le monde de la finance, décide de changer de vie. Attirée par les racines de l’histoire familiale, elle décide donc de reprendre la terre de ses aïeux. Grâce à une belle coïncidence, ou le signe du destin, (le vigneron qui avait repris les terres de son père en fermage partait en retraite 20 ans avant la date prévue), elle reprend donc la propriété. Lorsqu’elle arrive à Chablis, outre son amour pour les bons vins, elle est une véritable néophyte techniquement. Elle, parisienne, n’a jamais touché à la terre. Mais loin de se laisser abattre, et dotée d’une curiosité inouïe, elle expérimente, se trompe, recommence, s’adapte, se renseigne auprès des autres vignerons, fait des stages dans les autres domaines, jusqu’à arriver à ses fins, guidée par l’expérience -des autres vignerons, et la sienne-, ainsi que son instinct.
consciente du terroir d’exception qu’elle a la chance de posséder, Athénais cherche à le sublimer, tout en le laissant d’exprimer librement. Pour cela à la vigne, pas d’intrants. Les arbres sont palissés et taillés en guyot double, induisant une concurrence naturelle entre les plants et limitant ainsi les rendements tout en garantissant un étalement optimal de la surface foliaire. Les vignes sont vendangées à la main, dans le plus grand respect des baies. En cave, la vigneronne laisse les grappes exprimer leur personnalité, grâce aux levures indigènes et ne procède à aucun collage ni filtration. Elle n’utilise pas, ou peu, de soufre. Pour elle, l’absence de soufre sur le produit final est le fier aboutissement du dur labeur à la vigne, même si elle s’octroie la liberté d’intervenir dans la vinification des vins, au besoin.
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