Les prix sont affichés pour une livraison en :
Une côte-rôtie soyeuse qui, après une garde bien méritée, promet de jolis accords avec des viandes tendres, par exemple. Plus d'info
Fruit d’une sélection massale, la syrah qui compose cette côte-rôtie provient du lieu-dit La Viallière qui, lui-même, se situe au sein de la commune de Vérenay. Elle s’est épanouie au sein d’un terroir de micaschistes exposé plein sud et a été plantée en haute densité à raison de 8 000 à 10 000 pieds par hectare. Cultivée avec un soin qui limite les traitements, favorise la biodiversité, applique des engrais uniquement et maîtrise les rendements, elle est également récoltée à la main et fait l’objet d’une vinification parcellaire et traditionnelle. Ce qui signifie notamment que les levures indigènes enclenchent les fermentations. Egrappée partiellement, elle macère également pendant trois semaines. Le vin repose ensuite en barriques pendant un an et demi.
Taillé pour la garde, ce vin mérite de reposer au moins six ans après son millésime avant d’être dégusté. Il dévoilera alors un parfum fin et subtil porté par des arômes de fruits rouges et noirs et d’épices douces. La finesse des tanins permettra des accords avec des viandes tendres.
Côte-Rôtie La Viallière Yves Cuilleron (Domaine) se sert à une température de 16°C. Il s'accordera parfaitement avec les plats suivants : Poulet rôti, Quasi de veau aux girolles, Carottes rôties au miel, feta et noisette.
Fruit d’une sélection massale, la syrah qui compose cette côte-rôtie provient du lieu-dit La Viallière qui, lui-même, se situe au sein de la commune de Vérenay. Elle s’est épanouie au sein d’un terroir de micaschistes exposé plein sud et a été plantée en haute densité à raison de 8 000 à 10 000 pieds par hectare. Cultivée avec un soin qui limite les traitements, favorise la biodiversité, applique des engrais uniquement et maîtrise les rendements, elle est également récoltée à la main et fait l’objet d’une vinification parcellaire et traditionnelle. Ce qui signifie notamment que les levures indigènes enclenchent les fermentations. Egrappée partiellement, elle macère également pendant trois semaines. Le vin repose ensuite en barriques pendant un an et demi.
Taillé pour la garde, ce vin mérite de reposer au moins six ans après son millésime avant d’être dégusté. Il dévoilera alors un parfum fin et subtil porté par des arômes de fruits rouges et noirs et d’épices douces. La finesse des tanins permettra des accords avec des viandes tendres.
La passion paysanne du domaine Clusel-Roch remonte à plusieurs décennies, avant même l'essor des crus historiques du Rhône. Jusqu'aux années 1980 toutefois, on n'attribuait pas aux vins de Côte-Rôtie la même renommée qu'aujourd'hui. Gilbert Clusel, qui arrive sur le domaine après ses études, va travailler d'arrache-pied pour défricher et revaloriser d'anciennes vignes abandonnées.
Les années 1990 sont la décennie des évolutions. Le domaine se met à pratiquer les sélections massales (l'opération consistant à replanter de nouveaux pieds de vigne à partir des meilleurs ceps anciens), il reprend les labours, arrête les produits chimiques, et construit un nouveau chai, plus moderne. Gilbert et Brigitte décident de franchir l'étape suivante, en obtenant la certification bio en 2002. Une démarche d'autant plus méritante qu'il n'est pas aisé d'être en bio à Côte-Rôtie : les coteaux abrupts du vignoble rendent difficile le travail de la vigne et ont tendance à décourager les vignerons...
Guillaume, le fils de Gilbert et Brigitte, a rejoint le domaine en 2009. Il y gère aujourd'hui la plupart des responsabilités. Après Côte-Rôtie et Condrieu, il a introduit la troisième appellation, l'AOC Coteaux du Lyonnais, dans le giron du domaine.
Lire l'article du blog sur Clusel-Roch
Vous possédez un vin identique ?
Vendez le !Estimation gratuite
