Une cuvée parcellaire où le chardonnay prend des nuances de miel, de coing et de fleurs blanches, dans un ensemble d’un bel équilibre. Plus d'info
La Marcette est un assemblage de deux parcelles contigües, situées dans le sud de Pupillin. La première est plus plate et bénéficie d’une orientation à l’ouest, tandis que la seconde, plus pentue, fait face au nord. Toutes deux sont situées à 335 mètres d’altitude. Des chardonnays, plantés en 1982, s’y épanouissent sur 0,6 hectares au total, sur des sols de marnes du Triasique. S’il pratique la culture raisonnée, l’objectif est la conversion au bio, et Benjamin Benoit privilégie déjà le travail manuel, avec une utilisation du tracteur réduite et peu de labours. Les baies vendangées à la main sont pressées en grappes entières dans une presse verticale en bois, avant une fermentation enclenchée par les levures indigènes, puis un élevage de neuf mois en fûts anciens. Le résultat est un vin au bel équilibre, au nez de miel, de coing et de fleurs blanches et à la bouche grasse, tendue par une acidité sous-jacente.
Arbois La Marcette Cellier Saint Benoît se sert à une température de 10°C. Il s'accordera parfaitement avec les plats suivants : Dinde de Bresse rôtie au four, Filet de turbo au beurre blanc, Fondue au Mont D'Or.
La Marcette est un assemblage de deux parcelles contigües, situées dans le sud de Pupillin. La première est plus plate et bénéficie d’une orientation à l’ouest, tandis que la seconde, plus pentue, fait face au nord. Toutes deux sont situées à 335 mètres d’altitude. Des chardonnays, plantés en 1982, s’y épanouissent sur 0,6 hectares au total, sur des sols de marnes du Triasique. S’il pratique la culture raisonnée, l’objectif est la conversion au bio, et Benjamin Benoit privilégie déjà le travail manuel, avec une utilisation du tracteur réduite et peu de labours. Les baies vendangées à la main sont pressées en grappes entières dans une presse verticale en bois, avant une fermentation enclenchée par les levures indigènes, puis un élevage de neuf mois en fûts anciens. Le résultat est un vin au bel équilibre, au nez de miel, de coing et de fleurs blanches et à la bouche grasse, tendue par une acidité sous-jacente.
Perpétuant la lignée familiale initiée il y a quatre générations, Benjamin Benoît a repris les rênes du Cellier Saint Benoit. Autrefois cultivé en polyculture, c’est son père Denis qui, en 2003, décide de se consacrer uniquement à la vigne, quitte la coopérative et installe son chai au sein de l’ancien corps de ferme de la famille. A seulement 26 ans, Benjamin Benoît est à la tête de 6,25 hectares à Pupillin, qu’il cultive en agriculture raisonnée, avec une attention particulière au travail des sols. Se définissant comme un artisan vigneron, il a à cœur de maîtriser toutes les étapes de la culture de la vigne à l’embouteillage, et de limiter la production pour ne tirer que le meilleur de cette terre du Jura. Il décline son savoir-faire à travers les cinq cépages phares de la région chardonnay, savagnin, ploussard, trousseau et pinot noir, et propose une dizaine de cuvées qui le placent déjà parmi les étoiles montantes du Jura.
Vous possédez un vin identique ?
Vendez le !Estimation gratuite