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A la tête de ce domaine savoyard mais aussi d'une propriété en Bourgogne, Dominique Lucas signe ici un gamay soyeux grâce à des méthodes de culture biodynamiques qui impliquent, notamment, l'application de décoctions à base de plantes médicinales de la région. Plus d'info
S’il dirige un domaine à Pommard, en Bourgogne, Dominique Lucas ne s’arrête pas là et gère en parallèle Les Vignes du Paradis, une propriété qui se situe en Savoie, près du lac Léman. Il signe ici cette cuvée réalisée à partir de gamay cultivé avec soin, selon des principes biodynamiques. Les étapes de travail, dans la vigne comme en cave, respectent le calendrier lunaire. Des décoctions à base de plantes médicinales régionales sont appliquées et les sols sont travaillés, notamment par des labours à cheval. Sans surprise, la qualité est favorisée : les rendements sont donc restreints mais riches. En cave, les levures indigènes enclenchent les fermentations.
La dégustation nous dévoile un vin couleur rouge cerise teinté de reflets violacés. Il se savoure volontiers jeune pour la fraîcheur de ses notes de fruits rouges, de fleurs et d’épices. Fluide et soyeux, il n’en est pas moins structuré par de beaux tanins qui lui permettent d’être marié à des aliments grillés, par exemple.
IGP Vin des Allobroges Aux Détours du Lac Les Vignes de Paradis se sert à une température de 15°C. Il s'accordera parfaitement avec les plats suivants : Côte de veau parmentière, Aubergines farcies à l'agneau et à la menthe, Poulet rôti.
S’il dirige un domaine à Pommard, en Bourgogne, Dominique Lucas ne s’arrête pas là et gère en parallèle Les Vignes du Paradis, une propriété qui se situe en Savoie, près du lac Léman. Il signe ici cette cuvée réalisée à partir de gamay cultivé avec soin, selon des principes biodynamiques. Les étapes de travail, dans la vigne comme en cave, respectent le calendrier lunaire. Des décoctions à base de plantes médicinales régionales sont appliquées et les sols sont travaillés, notamment par des labours à cheval. Sans surprise, la qualité est favorisée : les rendements sont donc restreints mais riches. En cave, les levures indigènes enclenchent les fermentations.
La dégustation nous dévoile un vin couleur rouge cerise teinté de reflets violacés. Il se savoure volontiers jeune pour la fraîcheur de ses notes de fruits rouges, de fleurs et d’épices. Fluide et soyeux, il n’en est pas moins structuré par de beaux tanins qui lui permettent d’être marié à des aliments grillés, par exemple.
Lillois d’origine, œnologue formé à Beaune et à Changins en Suisse, Maxime Dancoine n’est vigneron que depuis 2016, lorsqu’il reprend des vignes plantées à Aiton et crée le domaine de l’Aitonnement. Sur 1,5 hectare niché à la pointe occidentale du massif de la Maurienne, ses vignes du coteau d’Aiton enfoncent leurs racines dans des sols de marnes grises et de schistes, sur des pentes atteignant jusqu’à 70% d’inclination. Elles bénéficient d’un ensoleillement continu et d’une exposition au vent, réduisant la menace des maladies, et facilitant une culture en biodynamie. Bien décidé à mettre en valeur une longue histoire viticole un peu oubliée, Maxime Dancoine produit avec brio de jolis vins à partir de mondeuse noire, de jacquère blanche et d’altesse. Il a également planté des parcelles de cépages savoyards méconnus tels le joubertin noir, le blanc de maurienne ou la mondeuse grise et blanche. Des vins sans soufre, dont la production reste confidentielle mais déjà très remarquée.
Lire l'article du Journal iDealwine sur le Domaine de l’Aitonnement
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