La récente accession de Château Angélus au rang de Grand Cru Classé A, lors de la révision du classement de Saint-Emilion, se traduit déjà dans les ventes aux enchères.
Les « vins du monde », voilà un terme souvent utilisé pour désigner ces vins qui ne sont pas français. Comme si les vins français étaient d'un autre monde ! Pourtant, il faut bien reconnaître que nos grands crus de Bordeaux, de Bourgogne et de la vallée du Rhône doivent aujourd'hui faire face à une concurrence accrue de la part des vins étrangers, dans les circuits de distribution traditionnels mais aussi lors des grandes ventes aux enchères. Alors, combien valent ces cuvées venues d'ailleurs, qu'on entre-aperçoit dans les ventes françaises ?
iDealwine a répertorié les domaines qui suscitent le plus fort intérêt auprès des amateurs lors des ventes aux enchères de vin. Cette liste consacre l'attrait suscité par les grands domaines de Bourgogne auprès des acquéreurs, avec 17 grandes signatures présentes, tant pour les pinots que pour les chardonnays. Bordeaux n'est toutefois pas en reste, avec 15 domaines recensés. On en trouve 5 dans la vallée du Rhône, un dans la Loire et un en Languedoc, ainsi qu'un en Champagne. Dix domaines étrangers figurent également dans cette liste.
Hongkong, ville de tous les records en matière de grands crus, a dû rendre à New-York son rang de n°1 des ventes aux enchères de vin à l'issue du deuxième trimestre 2012. Une vente de prestigieux flacons d'Yquem et Cheval Blanc, organisée par Sotheby's à New-York, y a contribué.
Dans le monde des grands bordeaux, Petrus est certainement celui qui se porte le mieux sur les grandes places de ventes aux enchères. Mais débourser plusieurs milliers d'euros pour une bouteille de ce fameux Pomerol vaut-il vraiment le coup ?
Les derniers résultats enregistrés dans les ventes européennes et américaines le confirment : les prix des grands millésimes de Château Lafite s'inscrivent dans le rouge par rapport à la cote iDealwine, calculée sur les résultats des ventes françaises. Pour autant, à Hongkong les amateurs asiatiques n'ont pas définitivement tourné la « page » Lafite.
Le château Mouton Rothschild, avec ses étiquettes illustrées chaque année par un artiste de renom, se prête particulièrement bien à la constitution d'une verticale. Et ce type de lot, fort prisé des amateurs (fortunés), peut atteindre des prix records dans les ventes aux enchères de vins.
Le placement vin a décidément le vent en poupe actuellement. La Financière d'Uzès vient d'annoncer la création du Fonds Commun de Placement Uzès Grands Crus. C'est la première fois qu'un fonds d'un tel type, et soumis au droit français, voit le jour.
C'est désormais une tradition : pour la septième année consécutive, iDealwine publie son baromètre annuel des ventes aux enchères de vin. Spécialiste de ce marché depuis 2001, iDealwine passe en revue les faits marquants qui ont influencé le monde des enchères en 2011, et dresse ses perspectives pour l'année 2012.
La Chine ne fait pas la pluie et le beau temps sur le marché des enchères de vin, mais elle y contribue indéniablement. Corrélativement à l'assagissement des prix de Château Lafite, un nouveau phénomène a progressivement émergé au cours des derniers mois dans l'ex-Empire du Milieu : l'intérêt, non plus pour les bordeaux, mais pour les grandes signatures de Bourgogne. Et, au tout premier chef, pour les rares flacons de Romanée Conti.
Que penser du marché des vins de sauternes ? Ces grands liquoreux, célébrés dans le monde entier, souffrent pourtant d'un défaut majeur : la teneur en sucre affichée n'est pas franchement tendance. Faut-il pour autant s'interdire de les acheter ?
Le marché des vins de Bordeaux, en pleine expansion sur la scène internationale, doit depuis quelques mois faire face à une demande croissante pour les grands crus de Bourgogne. Quelles sont les perspectives pour les grands crus de Bordeaux dans les ventes aux enchères au cours des mois à venir ?
Des vins du célèbre et légendaire producteur bourguignon Henri Jayer ont été vendus aux enchères par Christies le 10 février dernier à Hong Kong pour un total de 6,5 millions d'euros ! Un record…
Les seconds vins des grands crus classés figuraient parmi les valeurs qui avaient enregistré les plus belles performances en 2010. Activement recherchés sur les marchés internationaux en raison de la proximité du nom, ou du graphisme de l’étiquette avec leurs aînés, certains de ces vins ont vu leurs prix véritablement exploser. Qu’en est-il aujourd’hui ?