Un vin délicat, tendu, d’une grande finesse, issu d’un climat frais et ombragé. Plus d'info
Pour compléter sa gamme issue du vignoble du Château de Béru, Athénaïs de Béru propose des cuvées de négoce mettant en lumière des grands terroirs de Chablis et de l’Auxerrois. La vigneronne choisis ses raisins auprès de vignerons partenaires, qu’elle accompagne dans leur démarche de conversion vers le bio, voire la biodynamie. Cette cuvée sublime Blanchot, climat situé à l’extrémité sud de l’aire des grands crus. Il s’étend en forte pente sur des sols clairs face à Montée du Tonnerre, sur un terroir bien ventilé, ombragé l’après-midis.
Les chardonnays d’une trentaine d’années sont vendangés à la main, puis vinifiés en cuves à l’aide des levures indigènes, avant un élevage de 18 mois en fûts anciens. L’embouteillage est réalisé sans collage ni filtration.
Le plus faible ensoleillement de Blanchot résulte en un vin délicat, tendu, marqué par les fleurs blanches et les agrumes, axé sur la finesse plutôt que la puissance. A déguster en accompagnement d’un plateau de fruits de mer.
Chablis Grand cru Blanchot Château de Béru se sert à une température de 10°C. Il s'accordera parfaitement avec les plats suivants : Anguilles au vert, Colombo de poulet, Dos de cabillaud sur une fondue de poireaux.
Pour compléter sa gamme issue du vignoble du Château de Béru, Athénaïs de Béru propose des cuvées de négoce mettant en lumière des grands terroirs de Chablis et de l’Auxerrois. La vigneronne choisis ses raisins auprès de vignerons partenaires, qu’elle accompagne dans leur démarche de conversion vers le bio, voire la biodynamie. Cette cuvée sublime Blanchot, climat situé à l’extrémité sud de l’aire des grands crus. Il s’étend en forte pente sur des sols clairs face à Montée du Tonnerre, sur un terroir bien ventilé, ombragé l’après-midis.
Les chardonnays d’une trentaine d’années sont vendangés à la main, puis vinifiés en cuves à l’aide des levures indigènes, avant un élevage de 18 mois en fûts anciens. L’embouteillage est réalisé sans collage ni filtration.
Le plus faible ensoleillement de Blanchot résulte en un vin délicat, tendu, marqué par les fleurs blanches et les agrumes, axé sur la finesse plutôt que la puissance. A déguster en accompagnement d’un plateau de fruits de mer.
Le vignoble de Béru, situé en plein cœur de la région chablisienne, trouve son origine au XIIIème siècle. Cette propriété s’étend sur de prestigieuses parcelles de l’appellation Chablis et Chablis Premier Cru. C’est le cas du magnifique clos Béru. Délimité par des murs historiques, et s’étendant sur cinq hectares, au sein d’un terroir tout à fait exceptionnel, composé d’un sol argilo-calcaire et d’huitres fossilisées, et jouissant d’un incroyable microclimat sur le versant sud d’une colline, à 300 mètres d’altitude, ce clos est planté exclusivement de chardonnay.
En 2005, Athénais de Béru, qui travaillait alors dans le monde de la finance, décide de changer de vie. Attirée par les racines de l’histoire familiale, elle décide donc de reprendre la terre de ses aïeux. Grâce à une belle coïncidence, ou le signe du destin, (le vigneron qui avait repris les terres de son père en fermage partait en retraite 20 ans avant la date prévue), elle reprend donc la propriété. Lorsqu’elle arrive à Chablis, outre son amour pour les bons vins, elle est une véritable néophyte techniquement. Elle, parisienne, n’a jamais touché à la terre. Mais loin de se laisser abattre, et dotée d’une curiosité inouïe, elle expérimente, se trompe, recommence, s’adapte, se renseigne auprès des autres vignerons, fait des stages dans les autres domaines, jusqu’à arriver à ses fins, guidée par l’expérience -des autres vignerons, et la sienne-, ainsi que son instinct.
consciente du terroir d’exception qu’elle a la chance de posséder, Athénais cherche à le sublimer, tout en le laissant d’exprimer librement. Pour cela à la vigne, pas d’intrants. Les arbres sont palissés et taillés en guyot double, induisant une concurrence naturelle entre les plants et limitant ainsi les rendements tout en garantissant un étalement optimal de la surface foliaire. Les vignes sont vendangées à la main, dans le plus grand respect des baies. En cave, la vigneronne laisse les grappes exprimer leur personnalité, grâce aux levures indigènes et ne procède à aucun collage ni filtration. Elle n’utilise pas, ou peu, de soufre. Pour elle, l’absence de soufre sur le produit final est le fier aboutissement du dur labeur à la vigne, même si elle s’octroie la liberté d’intervenir dans la vinification des vins, au besoin.
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