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Après une belle journée de travail, ce whisky vous permet de passer à la deuxième partie de la soirée, d’où son nom. Un nectar convivial et complexe. Plus d'info
Ce whisky est une réalisation de Benjamin Kuentz, éditeur de whisky français. Ce nectar issu de Lorraine a été affiné dans cinq types de fûts différents pendant six à neuf ans : des ex-fûts de cognac, des fûts neufs de bourbon, d’olorosso et de pedro jimenez. Au final, il titre à 46 degrés d’alcool.
C’est le single malt whisky idéal pour la fin de journée, il vous permet de passer du retour du travail au début de d’une soirée plus conviviale et agréable. Passons à la dégustation : son nez, complexe, fumé, minéral, chocolaté, laisse entrevoir une bouche mûre, assez ronde et boisée, pâtissière. La finale, légèrement iodée, laisse penser que ce nectar s’accorderait parfaitement à un roquefort. Question accord, vous pouvez aussi l’associer avec une pata negra ou bien une délicieuse côte de bœuf. Servez-le aux environs de 18 degrés avec des glaçons, ou bien laissez votre bouteille au frais dans votre frigo.
Whisky Maison Benjamin Kuentz Fin de Partie (50cl)se sert à une température de 18°C. Il s'accordera parfaitement avec les plats suivants : Pata negra, Côte de bœuf , Roquefort.
Dégustation avec Benjamin Kuentz le 09/10/2022 chez iDealwine : son nez, complexe, fumé, minéral, chocolaté, laisse entrevoir une bouche mûre, assez ronde et boisée, pâtissière. La finale, légèrement iodée, laisse penser que ce nectar s’accorderait parfaitement à un roquefort.
Ce whisky est une réalisation de Benjamin Kuentz, éditeur de whisky français. Ce nectar issu de Lorraine a été affiné dans cinq types de fûts différents pendant six à neuf ans : des ex-fûts de cognac, des fûts neufs de bourbon, d’olorosso et de pedro jimenez. Au final, il titre à 46 degrés d’alcool.
C’est le single malt whisky idéal pour la fin de journée, il vous permet de passer du retour du travail au début de d’une soirée plus conviviale et agréable. Passons à la dégustation : son nez, complexe, fumé, minéral, chocolaté, laisse entrevoir une bouche mûre, assez ronde et boisée, pâtissière. La finale, légèrement iodée, laisse penser que ce nectar s’accorderait parfaitement à un roquefort. Question accord, vous pouvez aussi l’associer avec une pata negra ou bien une délicieuse côte de bœuf. Servez-le aux environs de 18 degrés avec des glaçons, ou bien laissez votre bouteille au frais dans votre frigo.
Benjamin Kuentz parle de lui-même comme étant un « éditeur de whisky français ». Son métier ? Il est tout à fait similaire à celui d’un éditeur : celui-ci décide avec quel écrivain il souhaite travailler, pour créer une collection cohérente avec une patte spécifique. Il travaille à l’envers : s’inspire des moments de consommation, en fonction de l’humeur, de la saison, du moment de la journée. Une fois l’idée par les mots et la poésie, vient la recette, l’assemblage. Puis le créateur remonte ensuite le processus pour faire appel à des distilleries françaises qui lui sélectionneront exactement le distillat qui lui convient, que ce dernier affine pendant plusieurs années dans des fûts de bourbon, de Pedro Jimenez, ou encore dans des ex-fûts de cognac, etc.
Persuadé qu’en France, nous avons tous les outils pour faire de très bons whiskys : nous savons distiller, faire vieillir et assembler... Benjamin Kuentz aime à rêver à cette question « et si les français avaient inventé le whisky ? ». Aujourd’hui, sa gamme de single malt est composée de cinq whiskies permanents et de plusieurs séries limitées.
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