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Viticulture
Général :
Le critère « bio », regroupe les vins certifiés en biodynamie, en agriculture biologique, en agriculture raisonnée / haute valeur environnementale, ainsi que les vins « écologiques » qui n’ont pas de certification officielle. Ces critères concernent les millésimes récents (la date de certification est spécifiée dans le descriptif du domaine, dans la mesure où elle est connue).
Pour plus de détails sur ce critère, reportez-vous à l’article du blog
Biodynamie :
Le critère « biodynamie » regroupe tous les domaines certifiés en biodynamie, validé par l’un des deux organismes officiels : Demeter ou Biodyvin. Tous les vins en biodynamie sont également certifiés en agriculture biologique.
Ce critère concerne les millésimes récents.
Biologique :
Le critère « biologique » regroupe tous les domaines certifiés en agriculture biologique, validé par l’un des organismes agréés par le ministère de l’Agriculture, comme Ecocert..
Raisonnée :
Le critère « raisonnée » regroupe tous les domaines certifiés en agriculture raisonnée ou en Haute Valeur Environnementale (niveau 3 de la Certification Environnementale).
Ce critère concerne les millésimes récents.
Ecologique :
Le critère écologique concerne les domaines qui ont des pratiques viticoles respectueuses de l’environnement, sans avoir fait le choix d’une certification ou dont la conversion en bio ou biodynamie n’est pas encore achevée. Il rassemble aussi bien des domaines qui ont des pratiques biodynamiques (non certifié), que des domaines que des domaines ayant simplement banni les intrants chimiques.
Ce critère concerne les millésimes récents.
Nature :
Ce critère désigne les vins produits sans soufre ajouté (ou presque) et sans autre intrant. Toutefois, aucun organisme officiel ne délivrant de label nature, cette distinction est fondée sur les déclarations des vignerons.
Ce critère concerne les millésimes récents.
La Bourgogne n’est pas tout à fait un vignoble comme les autres. Et le vin qu’on y produit n’est pas tout à fait un vin comme les autres grands vins de France. Les délicats pinots noirs et les nobles chardonnays issus des terroirs bourguignons ont toujours fasciné les amateurs du monde entier. Sans doute, bien entendu, par leurs qualités intrinsèques, mais peut-être aussi et surtout parce qu’ils sont perçus comme une forme d’accès à une culture typiquement française. Une image peut-être légèrement fantasmée, mais qui illustre une forme de France éternelle, amalgamant l’authenticité d’une ruralité bon enfant, la beauté de paysages légendaires, la saveur inégalée d’une cuisine mythique, autant de valeurs particulièrement sublimées en Bourgogne. Sans oublier que c’est ici, au cœur de cette région façonnée par l’histoire de France et ses racines chrétiennes qu’est née la notion de terroir, devenue, presqu’à l’excès, une clé universelle de la compréhension des grands vins.
L’histoire du vignoble bourguignon est plus ancienne que celle de la Bourgogne elle-même, c’est à dire qu’on trouve la présence de vignes dans la région, bien avant que celle-ci ne devienne le territoire historique de Bourgogne.
Comme souvent en France, ce sont très probablement les Romains qui ont introduit durablement la vigne en Gaule, mais, auparavant (deux ou trois siècles avant J.-C.), il est probable que certaines tribus celtes établies dans l’actuelle Bourgogne aient ramené de leurs voyages au-delà des Alpes le goût du vin (et quelques amphores pleines, sans doute !) qui a alors commencé à être particulièrement apprécié par nos ancêtres… Il faudra attendre le milieu du Ier siècle après J.-C. pour identifier une activité viticole florissante (traces d’amphores fabriquées à Gueugnon et de tonneaux, une spécialité gauloise). Les vins de cette époque ne devaient ressembler que très loin à ceux que nous dégustons aujourd’hui : ils étaient “relevés” d’herbes infusées, d’épices, et enrichis de miel, voire de sel, pour une meilleure conservation. Et, contrairement aux Romains qui buvaient toujours le leur coupé d'eau (selon eux, seuls les dieux pouvaient boire le vin pur), les Gaulois le buvaient pur et étaient de ce fait considérés par leurs envahisseurs comme des “barbares” !
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