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Un domaine iconique de la vallée du Rhône septentrional est à l'origine de ce vin rare. Plus d'info
Aujourd’hui entre les mains de Caroline Frey qui est également à la tête du château bordelais La Lagune, le domaine rhodanien Paul Jaboulet Aîné est une véritable icône de la vallée du Rhône septentrionale qui, jamais, ô grand jamais, ne se repose sur ses lauriers. Les vignes sont cultivées avec soin, selon des principes certifiés HVE (Haute Valeur Environnementale) depuis 2015 et selon ceux de l’agriculture biologique.
Véritable petite rareté, ce cornas provient du lieu-dit éponyme Reynard et est composé de syrah qui a puisé les nutriments nécessaires à son épanouissement dans des sols composés de granit, de sable, de calcaire, de gneiss et d’oxyde de fer. Taillé pour une très grande garde, il dévoile dans sa jeunesse une robe rubis tirant vers le noir qui, avec le temps, s’épanouit vers le grenat. De celle-ci s’échappe un bouquet intense de fruits noirs, de petites baies, d’épices douces, de musc, de venaison et de bois précieux.
Cornas Reynard Paul Jaboulet Ainé se sert à une température de 16°C. Il s'accordera parfaitement avec les plats suivants : Terrine de sanglier, Civet de biche, Paleron de bœuf aux lentilles.
Aujourd’hui entre les mains de Caroline Frey qui est également à la tête du château bordelais La Lagune, le domaine rhodanien Paul Jaboulet Aîné est une véritable icône de la vallée du Rhône septentrionale qui, jamais, ô grand jamais, ne se repose sur ses lauriers. Les vignes sont cultivées avec soin, selon des principes certifiés HVE (Haute Valeur Environnementale) depuis 2015 et selon ceux de l’agriculture biologique.
Véritable petite rareté, ce cornas provient du lieu-dit éponyme Reynard et est composé de syrah qui a puisé les nutriments nécessaires à son épanouissement dans des sols composés de granit, de sable, de calcaire, de gneiss et d’oxyde de fer. Taillé pour une très grande garde, il dévoile dans sa jeunesse une robe rubis tirant vers le noir qui, avec le temps, s’épanouit vers le grenat. De celle-ci s’échappe un bouquet intense de fruits noirs, de petites baies, d’épices douces, de musc, de venaison et de bois précieux.
Antoine Jaboulet fonda sa maison en 1834, à Tain-l'Hermitage. Ses fils Paul et Henri lui succédèrent, puis ce fut le tour de Louis, le fils de Paul. Vinrent ensuite Gérard, le fils de Louis, et enfin, à partir de 1997, Michel Jaboulet, cousin de Gérard, qui a pris les rênes du domaine jusqu'en 2006 lorsque la maison fut rachetée par le groupe Frey, propriétaire de vignes en Champagne et à Bordeaux (Château La Lagune). L'héritage est alors exceptionnel : 125 hectares de vignes dont 25 implantés sur la si célèbre colline de l'Hermitage, le deuxième plus important patrimoine de vignes sur ce lieu inédit. D'autres appellations viennent compléter la gamme : Saint-Joseph, Crozes-Hermitage, Cornas, Châteauneuf-du-Pape, Côte-Rôtie ou encore Condrieu. C'est l'œnologue Caroline Frey qui gère aujourd'hui une maison à la réputation déjà faite mais qui retrouve sereinement un excellent niveau.
Depuis 2013, le vignoble de la maison Jaboulet est officiellement en conversion vers l'agriculture biologique. La certification Haute Valeur Environnementale, elle, a déjà été obtenue en 2015. Mais au-delà des certifications, l'objectif de la maison reste inchangé : préserver la qualité du fruit, vinifier avec rigueur, et élever avec finesse afin de révéler au mieux chaque terroir de ce grand vignoble du Rhône.
Lire l'article du blog sur la maison Paul Jaboulet Aîné
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