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Une petite rareté qui équilibre à merveille notes fruitées à celles généreuses typiques d'un élevage parfaitement maîtrisé par une famille à la réputation bien établie dans la vallée du Rhône méridionale ! Plus d'info
Attention chers amateurs, petite rareté ! Ce vin blanc de Châteuneuf-du-Pape est réalisé à partir de roussanne, de clairette et de grenache blanc. Ces variétés ont été incitées à puiser les nutriments nécessaires à leur épanouissement sur des terres composées de dépôts de diluvium alpins, de galets et d’argile grâce à des méthodes de culture respectueuses de l’environnement. Et ce, au sein d’un vignoble s’étalant sur 2,5 hectares, jouxtant celui destiné à la production des Sinards rouge.
La date de récolte est fixée à maturité idéale, ce qui, au domaine, signifie que les baies sont dégustées régulièrement. Arrivées en cuverie, les baies sont pressées délicatement dans un pressoir pneumatique. Le moût est réfrigéré afin de préserver la délicatesse des arômes des raisins. Dans la même optique, la fermentation se déroule dans des contenants inertes (en cuves) et le moût est ensuite entreposé dans des demi-muids. Les lies (= levures mortes) sont remises régulièrement en suspension grâce à des bâtonnages ; une action qui permet d’offrir du corps, de la rondeur et des arômes quelque peu lactés au vin. Le vin mature en barriques pendant quelques mois et est ensuite mis en bouteille après un léger collage.
Le domaine recommande de servir ce vin à 10°C et d’accompagner sa générosité gustative (vanille, fruits à noyau, beurre) de mets de caractère comme un poisson gras ou une volaille en sauce crémée.
Châteauneuf-du-Pape Les Sinards Famille Perrin se sert à une température de 12°C. Il s'accordera parfaitement avec les plats suivants : Gougères au lard, Quenelles au brochet, Poulet de Bresse à la crème.
Attention chers amateurs, petite rareté ! Ce vin blanc de Châteuneuf-du-Pape est réalisé à partir de roussanne, de clairette et de grenache blanc. Ces variétés ont été incitées à puiser les nutriments nécessaires à leur épanouissement sur des terres composées de dépôts de diluvium alpins, de galets et d’argile grâce à des méthodes de culture respectueuses de l’environnement. Et ce, au sein d’un vignoble s’étalant sur 2,5 hectares, jouxtant celui destiné à la production des Sinards rouge.
La date de récolte est fixée à maturité idéale, ce qui, au domaine, signifie que les baies sont dégustées régulièrement. Arrivées en cuverie, les baies sont pressées délicatement dans un pressoir pneumatique. Le moût est réfrigéré afin de préserver la délicatesse des arômes des raisins. Dans la même optique, la fermentation se déroule dans des contenants inertes (en cuves) et le moût est ensuite entreposé dans des demi-muids. Les lies (= levures mortes) sont remises régulièrement en suspension grâce à des bâtonnages ; une action qui permet d’offrir du corps, de la rondeur et des arômes quelque peu lactés au vin. Le vin mature en barriques pendant quelques mois et est ensuite mis en bouteille après un léger collage.
Le domaine recommande de servir ce vin à 10°C et d’accompagner sa générosité gustative (vanille, fruits à noyau, beurre) de mets de caractère comme un poisson gras ou une volaille en sauce crémée.
Intégralement cultivé de manière biologique, le vignoble du Château de Beaucastel produit l'un des meilleurs châteauneuf-du-pape de l'appellation. La création du vignoble date du XVI° siècle : Pierre de Beaucastel fait en 1549 l'acquisition de terres à Coudoulet. La famille marquera de ses armoiries les murs de la propriété construite quelques temps plus tard, gravées aujourd’hui sur les bouteilles et reproduites sur les étiquettes. Rares sont ceux qui atteignent de tels sommets de perfection, notamment sur la durée. Au fil des générations, une même réussite s'est imposée et le savoir-faire se transmet admirablement.
Aujourd'hui, Jean-Pierre et François, les fils de Jacques Perrin, et leurs enfants respectifs qui représentent la cinquième génération ont repris le flambeau.
Les vignes couvrent 130 hectares dont seulement 100 sont exploités, et sont plantés des treize cépages autorisés. Rendements maitrisés, compost " maison " au lieu d’engrais chimiques, travail biologique (ce fut le premier domaine de la vallée du Rhône à se convertir en 1950 et à la biodynamie en 1974) sont les secrets d’un travail dans les vignes.
Du côté des vinifications, les raisins égrappés sont ensuite vinifiés en cuves et vieillis en foudres de chêne pendant un an. Tous les cépages sont encuvés séparément, afin de respecter le caractère, les arômes et l'originalité de chacun. Les vins reposent en bouteille pendant une année supplémentaire au domaine avant leur commercialisation. Depuis quinze ans, les Perrin ont acquis des vignes en propre dans d'autres appellations... avec pour ambition de devenir LES spécialistes du sud de la vallée du Rhône.
Lire l'article du blog sur le château de Beaucastel
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