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Un nez de petits fruits rouges acidulés, une matière charnue et soyeuse pour ce savigny très réussi. Plus d'info
Cette cuvée est issue d’une parcelle située sur la commune de Savigny, sous le premier cru Les Fourneaux, en bas de coteau. Les pinots noirs d’une cinquantaine d’années s’étendent sur un sol profond et peu caillouteux, composé majoritairement d’argile. Nicolas Rossignol y pratique une viticulture raisonnée, inspirée de la biodynamie, sans aucun pesticide. Les baies sont vendangées à la main en petites caisses de huit kilos puis triées méticuleusement au chai, d’abord sur table vibrante puis manuellement. Les fermentations sont initiées par les levures indigènes, et ponctuées de remontage et pigeage. Après six à huit jours, le vin est entonné en fûts de chêne pour un élevage de dix à vingt mois sur lies fines sans soutirage.
Embouteillé sans collage ni filtration, ce savigny dévoile une robe rubis, un nez intense de petits fruits rouges acidulés, une bouche charnue, aux tannins soyeux s’allongeant en une longue finale bien fraîche.
Savigny-lès-Beaune Nicolas Rossignol se sert à une température de 15°C. Il s'accordera parfaitement avec les plats suivants : Bœuf bourguignon, Fricassée de dinde, Gruyère.
Cette cuvée est issue d’une parcelle située sur la commune de Savigny, sous le premier cru Les Fourneaux, en bas de coteau. Les pinots noirs d’une cinquantaine d’années s’étendent sur un sol profond et peu caillouteux, composé majoritairement d’argile. Nicolas Rossignol y pratique une viticulture raisonnée, inspirée de la biodynamie, sans aucun pesticide. Les baies sont vendangées à la main en petites caisses de huit kilos puis triées méticuleusement au chai, d’abord sur table vibrante puis manuellement. Les fermentations sont initiées par les levures indigènes, et ponctuées de remontage et pigeage. Après six à huit jours, le vin est entonné en fûts de chêne pour un élevage de dix à vingt mois sur lies fines sans soutirage.
Embouteillé sans collage ni filtration, ce savigny dévoile une robe rubis, un nez intense de petits fruits rouges acidulés, une bouche charnue, aux tannins soyeux s’allongeant en une longue finale bien fraîche.
Comme pour beaucoup de domaines viticoles, l'histoire de celui de Nicolas Rossignol est familiale. Après avoir baroudé en Afrique du Sud et fait ses classes auprès de domaines de différentes régions (Joseph Voillot à Volnay, Louis Latour en Ardèche, le Vieux Télégraphe à Châteauneuf-du-Pape et La Cardonne à Bordeaux), Nicolas Rossignol créé le sien en 1997. Celui-ci disposait de 3 hectares de vignes sur les communes de Pernand-Vergelesses, Aloxe-Corton, Beaune, Pommard et Volnay. Dans le même temps, il vinifiait au domaine familial Rossignol-Jeanniard depuis 1994. Certains s'en rappellent peut-être : en 2011 les deux domaines fusionnent et conserve l'étiquette commune « Domaine Nicolas Rossignol ». Les années passent et le propriétaire ne cesse d'élargir ses horizons, acquiert de nouvelles terres pour compléter son domaine qui recense aujourd'hui quelques 17 hectares.
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