Un chablis simple mais frais et élégant, fruité, floral et souple. Il s'accordera très bien avec tous les mets iodés, des poissons grillés jusqu'aux fruits de mer et aux sushis. Plus d'info
Le chablis de William Fèvre est, comme le stipule le cahier des charges de l’appellation, composé de chardonnay qui a puisé ses lettres de noblesse dans un sol de marnes et de calcaire argileux du Kimméridgien (les sols étant vieux de 150 millions d’années). Celui-ci est cultivé avec soin et vendangé à la main.
En cave, les vinifications se font par gravité. L’idée ? Eviter l’emploi du pompage qui atteindrait la qualité du vin. Arrivées sur place, les baies subissent un pressurage direct de deux heures maximum. Un débourbage statique léger est effectué et se donne pour mission de préserver les lies fines (= levures) qui enclencheront les fermentations alcoolique et malolactique. Le vin est élevé entre huit et dix mois, dans des petites cuves inox. Ces contenants inertes ayant l’intérêt de préserver la fraîcheur des baies et l’identité du terroir.
Le nez du chablis de William Fèvre révèle des notes d'agrumes, de fruits (pêche, poire) et de fleurs blanches. La bouche est fraîche et souple, dirigée par une belle minéralité.
Chablis William Fèvre (Domaine) se sert à une température de 13°C. Il s'accordera parfaitement avec les plats suivants : Blinis au saumon fumé, Coquilles Saint Jacques poêlées, Sole grillée.
Le chablis de William Fèvre est, comme le stipule le cahier des charges de l’appellation, composé de chardonnay qui a puisé ses lettres de noblesse dans un sol de marnes et de calcaire argileux du Kimméridgien (les sols étant vieux de 150 millions d’années). Celui-ci est cultivé avec soin et vendangé à la main.
En cave, les vinifications se font par gravité. L’idée ? Eviter l’emploi du pompage qui atteindrait la qualité du vin. Arrivées sur place, les baies subissent un pressurage direct de deux heures maximum. Un débourbage statique léger est effectué et se donne pour mission de préserver les lies fines (= levures) qui enclencheront les fermentations alcoolique et malolactique. Le vin est élevé entre huit et dix mois, dans des petites cuves inox. Ces contenants inertes ayant l’intérêt de préserver la fraîcheur des baies et l’identité du terroir.
Le nez du chablis de William Fèvre révèle des notes d'agrumes, de fruits (pêche, poire) et de fleurs blanches. La bouche est fraîche et souple, dirigée par une belle minéralité.
Présents dans la région depuis près de trois siècles, les Fèvre ont marqué le chablisien de leur nom grâce à William, qui fonda le Domaine de la Maladière à la fin des années 1950. Avec l'arrivée des nouveaux propriétaires en 1998, la famille champenoise Henriot, également propriétaire de la Maison Bouchard Père et Fils, William Fèvre a amorcé une mue importante : vendanges manuelles, tri sélectif, élevage sous bois parcimonieux, jamais de fûts neufs, pour préserver le terroir chablisien sans le dénaturer par des boisés excessifs ; c'est d'ailleurs l'un des secrets de Fèvre ! Aujourd'hui dotée d'une assise financière solide, la maison William Fèvre caracole en tête des meilleurs chablis, tout en bénéficiant de techniques somme toutes simples mais respectueuses des terroirs. Petite originalité de la maison : c'est un seul et même homme, Didier Séguier, qui officie à la fois en tant que chef de culture et maître de chai. Pour tous les vins, le principe de gravité prévaut : les raisins suivent un circuit naturel, sans pompage, de haut vers le bas. Les vins sont élevés en fûts de chêne, sur lies fines, entre 10 et 15 mois, et bâtonnés en fonction des millésimes. Didier Seguier, le vinificateur, produit ainsi des chablis nets et bien définis, d'une grande pureté. Le domaine compte 48 hectares, dont plus de la moitié en premiers (12 ha) et grands crus (15,2 ha).
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