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Un assemblage très gourmand de gamay, mondeuse et pinot noir qui ravit par ses notes de fruits rouges et noirs relevées d’une touche de poivre. Plus d'info
D’abord nommée « Tutoyer le diable », cette cuvée a été rebaptisée « Croire au Yéti ». Elle est issue de raisins cultivés selon des principes bio sur les sols argilo-calcaire du terroir de Fréterive, commune que l’on retrouve en Savoie. Vendangés et vinifiés par Guillaume Lavie et Maxime Dancoine, cette cuvée séduit d’emblée par sa gourmandise. Les trois cépages qui la constituent, 50% gamay, 30% mondeuse et 20% pinot noir ont macéré deux semaines et demie et ont fermenté grâce à l’action des levures indigènes. Et ce, séparément avant d’être élevés ensemble pendant six mois en partie en fût et en partie en cuve. Une minuscule dose de soufre est ajoutée à la mise en bouteille.
Le résultat révèle un vin au nez frais porté par des notes de mûre, de cerise noire et de groseille et où pointent des notes de rose et de violette épicées par une touche de poivre blanc. Les tanins se font très discrets dans une bouche croquante, portée par les petits fruits rouges et noirs. Un délice à déguster sans attendre.
Vin de France Croire au Yéti Des vins d'enVie - Maxime Dancoine se sert à une température de 13°C. Il s'accordera parfaitement avec les plats suivants : Magret de canard, Lapin à la forestière, Gratin de crozets.
D’abord nommée « Tutoyer le diable », cette cuvée a été rebaptisée « Croire au Yéti ». Elle est issue de raisins cultivés selon des principes bio sur les sols argilo-calcaire du terroir de Fréterive, commune que l’on retrouve en Savoie. Vendangés et vinifiés par Guillaume Lavie et Maxime Dancoine, cette cuvée séduit d’emblée par sa gourmandise. Les trois cépages qui la constituent, 50% gamay, 30% mondeuse et 20% pinot noir ont macéré deux semaines et demie et ont fermenté grâce à l’action des levures indigènes. Et ce, séparément avant d’être élevés ensemble pendant six mois en partie en fût et en partie en cuve. Une minuscule dose de soufre est ajoutée à la mise en bouteille.
Le résultat révèle un vin au nez frais porté par des notes de mûre, de cerise noire et de groseille et où pointent des notes de rose et de violette épicées par une touche de poivre blanc. Les tanins se font très discrets dans une bouche croquante, portée par les petits fruits rouges et noirs. Un délice à déguster sans attendre.
Lillois d’origine, œnologue formé à Beaune et à Changins en Suisse, Maxime Dancoine n’est vigneron que depuis 2016, lorsqu’il reprend des vignes plantées à Aiton et crée le domaine de l’Aitonnement. Sur 1,5 hectare niché à la pointe occidentale du massif de la Maurienne, ses vignes du coteau d’Aiton enfoncent leurs racines dans des sols de marnes grises et de schistes, sur des pentes atteignant jusqu’à 70% d’inclination. Elles bénéficient d’un ensoleillement continu et d’une exposition au vent, réduisant la menace des maladies, et facilitant une culture en biodynamie. Bien décidé à mettre en valeur une longue histoire viticole un peu oubliée, Maxime Dancoine produit avec brio de jolis vins à partir de mondeuse noire, de jacquère blanche et d’altesse. Il a également planté des parcelles de cépages savoyards méconnus tels le joubertin noir, le blanc de maurienne ou la mondeuse grise et blanche. Des vins sans soufre, dont la production reste confidentielle mais déjà très remarquée.
Lire l'article du Journal iDealwine sur le Domaine de l’Aitonnement
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