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A la tête de la propriété, l'énergique Vanessa Cherruau que nous prenons plaisir à visiter signe un des seuls vins rouges produits sur la Butte de Chaume. Celui-ci fait la part belle au cabernet-sauvignon et au cabernet-franc dans un registre juteux et gourmand. Plus d'info
Grand Lopin est un vin rouge, un des seuls de la butte de Chaume. Il est composé de cabernet-sauvignon majoritaire à 60% et enrichi de cabernet-franc. Tous deux se sont épanouis sur des sols composés de schistes, de phtanite et de spilite et ont été incités à en puiser la substantifique moelle grâce à des méthodes de culture sans cesse remises en question, surtout en cette époque où le climat mute. A la tête de la propriété, l’énergique Vanessa Cherruau met tout en œuvre pour signer un vin de terroir. Et cela passe, bien sûr par un minimum d’interventions. Les grappes sont récoltées à la main et, afin d’éviter d’être abîmées, celles-ci sont acheminées vers la cuverie dans des petites caisses. Les baies sont égrappées. Les levures indigènes enclenchent les fermentations, la macération est courte et s’étale sur trois semaines environ. Le soufre est utilisé de façon homéopathique seulement. Vinification et élevage se déroulent en barriques et en amphores pendant un an.
Aussi bon jeune qu’après une dizaine d’années de repos en cave, ce vin mérite une aération d’une à deux heures avant son service. Il dévoilera alors un jus et une matière charnue gourmande, enrichie par des petites notes d’épices douces et des tanins fins structurants.
Anjou Grand Lopin Château de Plaisance se sert à une température de 15°C. Il s'accordera parfaitement avec les plats suivants : Carré d'agneau rôti en persillade, Gratin de raviolis, Filets mignons aux poivrons rôtis.
Grand Lopin est un vin rouge, un des seuls de la butte de Chaume. Il est composé de cabernet-sauvignon majoritaire à 60% et enrichi de cabernet-franc. Tous deux se sont épanouis sur des sols composés de schistes, de phtanite et de spilite et ont été incités à en puiser la substantifique moelle grâce à des méthodes de culture sans cesse remises en question, surtout en cette époque où le climat mute. A la tête de la propriété, l’énergique Vanessa Cherruau met tout en œuvre pour signer un vin de terroir. Et cela passe, bien sûr par un minimum d’interventions. Les grappes sont récoltées à la main et, afin d’éviter d’être abîmées, celles-ci sont acheminées vers la cuverie dans des petites caisses. Les baies sont égrappées. Les levures indigènes enclenchent les fermentations, la macération est courte et s’étale sur trois semaines environ. Le soufre est utilisé de façon homéopathique seulement. Vinification et élevage se déroulent en barriques et en amphores pendant un an.
Aussi bon jeune qu’après une dizaine d’années de repos en cave, ce vin mérite une aération d’une à deux heures avant son service. Il dévoilera alors un jus et une matière charnue gourmande, enrichie par des petites notes d’épices douces et des tanins fins structurants.
Le Château de Plaisance a plus d'un siècle d'histoire, et appartenait à la famille Rochais depuis 1960, jusqu'à ce qu'une jeune vigneronne angevine, alors âgée de 32 ans et enceinte, décide d'en faire son projet. Vanessa Cherruau associée à un investisseur se lance ainsi le défi de reprendre la main de ce très beau domaine, installé sur des terroirs exceptionnels de l'Anjou : Chaume 1er cru, Quarts-de-Chaume grand cru ou encore Savennières. Au domaine, le cépage roi est bien sûr le chenin, travaillé en sec – la cuvée Ronceray en est le meilleur exemple - comme en liquoreux. Une petite fierté également, le cabernet franc et cabernet sauvignon sont les seules vignes rouges qui sont plantées sur la fameuse butte de Chaume. La vinification et l'élevage sont réalisés de façon à mettre toujours en avant les terroirs et les parcelles.
Au domaine, l'éthique pourrait faire l'objet d'un véritable ouvrage : bio, biodynamie, peu de soufre, reforestation, réintroduction de la biodiversité, protection des sols, égalité et respect des collaborateurs, mais aussi bonne humeur et fantaisie… Bref, « Chaume must go on ! » comme le dit si bien le Château de Plaisance !
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