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Un petit ovni réalisé en hommage à Denis Dubourdieu, œnologue renommé disparu en 2016, qui affectionnait particulièrement le petit verdot. Plus d'info
En 2020, Jean-Jacques Dubourdieu sortait une cuvée en hommage à son père, Denis Dubourdieu, issue du château Reynon. Celle-ci est un monocépage de petit verdot, variété que ce dernier, œnologue à succès décédé en juillet 2016, affectionnait particulièrement.
Au sein de ce château, dans l’appellation de Cadillac-Côtes de Bordeaux, cette variété s’épanouit sur 3.5 hectares et est vinifiée de façon confidentielle (3 000 bouteilles seulement). Fragile, le petit verdot s’offre ici à travers un vin doté d’une robe rouge intense, assez dense. De celle-ci s’échappe un bouquet aromatique puissant marqué par des notes de fruits rouges bien mûrs, de cuir, de violette et de cacao. Structuré par des tannins serrés, il gagne à accompagner des mets de caractère comme une viande rouge grillée, des champignons ou tout autre met automnal. A noter que le petit verdot fait bel et bien partie du paysage bordelais, apportant structure et caractère aux assemblages.
Hommage Denis Dubourdieu (CBO à partir de 6 bts)se sert à une température de 16°C. Il s'accordera parfaitement avec les plats suivants : Entrecôte, Risotto à la truffe, Mimolette vieille.
En 2020, Jean-Jacques Dubourdieu sortait une cuvée en hommage à son père, Denis Dubourdieu, issue du château Reynon. Celle-ci est un monocépage de petit verdot, variété que ce dernier, œnologue à succès décédé en juillet 2016, affectionnait particulièrement.
Au sein de ce château, dans l’appellation de Cadillac-Côtes de Bordeaux, cette variété s’épanouit sur 3.5 hectares et est vinifiée de façon confidentielle (3 000 bouteilles seulement). Fragile, le petit verdot s’offre ici à travers un vin doté d’une robe rouge intense, assez dense. De celle-ci s’échappe un bouquet aromatique puissant marqué par des notes de fruits rouges bien mûrs, de cuir, de violette et de cacao. Structuré par des tannins serrés, il gagne à accompagner des mets de caractère comme une viande rouge grillée, des champignons ou tout autre met automnal. A noter que le petit verdot fait bel et bien partie du paysage bordelais, apportant structure et caractère aux assemblages.
Classé second cru en 1855, le château Doisy-Daëne est la propriété de la famille Dubourdieu depuis 1924. Le château fut longtemps incarné par Denis Dubourdieu, élève d'Emile Peynaud, qui modernisa toutes les pratiques de vinification à Bordeaux. Ce sont désormais ses fils qui sont à la tête du domaine. Le vignoble, âgé en moyenne de plus de 40 ans, s'étend sur 16 hectares, implantés sur le terroir du plateau de Barsac. Les vignes bénéficient d'une configuration géologique particulière : une mince couche de sables argileux recouvre le sous-sol calcaire. Cette dalle rocheuse empêche la vigne de s'enraciner en profondeur ; par ailleurs, le calcaire restitue durant l'été à la vigne l'eau dont il s'est imprégné pendant l'hiver. Cette particularité du terroir contribue à l'élaboration de vins d'une grande finesse. Afin de récolter les grains atteints par la pourriture noble, la vendange s'effectue au minimum en trois passages, parfois jusqu'à six. A l'issue de la vinification, les vins sont élevés pendant neuf mois en barriques, puis durant 10 mois supplémentaires en cuve inox, préalablement à leur mise en bouteille. Le château produit également un vin sec, et les grandes années l'Extravagant, une cuvée encore plus riche comparable aux célèbres trockenbeerenausleses allemands. Le château a racheté le cru voisin Doisy Dubroca, reformant une partie de l'ancien grand domaine de Doisy.
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