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Un bel équilibre entre la matière et l’acidité, une finale veloutée s’exprime ensuite avec des notes d’épices comme la réglisse. Plus d'info
Laura Aillaud nous donne rendez-vous au cœur du Lubéron pour nous faire découvrir ses vins à la fois purs et authentiques. Jeune vigneronne passionnée de vins nature, le domaine est également conduit en agriculture biologique et certaines de ses pratiques reposent sur les principes de la biodynamie. La cuvée Long Courrier est un vin composé à 50% de syrah et à 50% de grenache. Les vignes âgées de plus de 50 ans promettent des vins fins et profonds. La vinification se déroule en cuve afin de conserver une fraicheur optimale et l’expression la plus pure des baies, puis un élevage en barrique vient apporter de légères notes épicées. Cette cuvée rend également hommage à Marie Odile Ducrest, un personnage important pour Laura car cette dernière lui a permis de reprendre ses vignes et de démarrer cette nouvelle activité.
Au nez, le vin exprime de jolies notes de fruits rouges, de cassis et de mûres réhaussées par des notes légèrement épicées. Après une douce oxygénation, le vin s’ouvre ensuite sur de plus nettes touches d’épices et de fruits noirs. Un bel équilibre entre la matière et l’acidité, une finale veloutée s’exprime ensuite sur des notes d’épices comme la réglisse.
Vin de France Long courrier Laura Aillaud se sert à une température de 16°C. Il s'accordera parfaitement avec les plats suivants : Terrine de foie de volaille, Quiche Lorraine au poireau, Parmentier de boudin noir.
Laura Aillaud nous donne rendez-vous au cœur du Lubéron pour nous faire découvrir ses vins à la fois purs et authentiques. Jeune vigneronne passionnée de vins nature, le domaine est également conduit en agriculture biologique et certaines de ses pratiques reposent sur les principes de la biodynamie. La cuvée Long Courrier est un vin composé à 50% de syrah et à 50% de grenache. Les vignes âgées de plus de 50 ans promettent des vins fins et profonds. La vinification se déroule en cuve afin de conserver une fraicheur optimale et l’expression la plus pure des baies, puis un élevage en barrique vient apporter de légères notes épicées. Cette cuvée rend également hommage à Marie Odile Ducrest, un personnage important pour Laura car cette dernière lui a permis de reprendre ses vignes et de démarrer cette nouvelle activité.
Au nez, le vin exprime de jolies notes de fruits rouges, de cassis et de mûres réhaussées par des notes légèrement épicées. Après une douce oxygénation, le vin s’ouvre ensuite sur de plus nettes touches d’épices et de fruits noirs. Un bel équilibre entre la matière et l’acidité, une finale veloutée s’exprime ensuite sur des notes d’épices comme la réglisse.
Laura Aillaud nous donne rendez-vous au cœur du Lubéron pour nous faire découvrir ses vins à la fois purs et authentiques. Sommelière à l’origine, cette dernière se découvre progressivement une vocation pour la production de vins et décide de reprendre des études de viticulture-œnologie pour y parvenir. Passionnée par les vins natures, elle apprend aux côtés de Jean Christophe Comor, figure du domaine des Terres Promises dans le Var, avant de se lancer en autodidacte. De retour sur ses terres d’origine, elle reprend d’abord 3 hectares de vignes en fermage en 2017 puis 3 hectares supplémentaires l’année suivante, marquant ainsi le début de l’histoire du domaine.
Le respect de la nature est une question centrale pour Laura car elle conduit son exploitation en agriculture biologique et certaines de ses pratiques reposent sur les principes de la biodynamie. Le cheval de trait est également d’actualité pour le travail des sols. Energique et audacieuse, cette vigneronne surprend par ses convictions fortes et ses créations au naturel et à la pureté déconcertante.
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