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A la tête de la Cantina di Torra, Nicolas Mariotti Bindi qui, après des études de droit à Paris, a totalement changé d’univers professionnel en se tournant vers le vin et en créant son propre domaine. Fort d’un savoir-faire acquis auprès de vignerons du Beaujolais mais, surtout, de certaines grandes figures de l’Île de Beauté (Antoine Arena, Leccia, Giudicelli), il nous propose cette cuvée Mursaglia, un vin blanc uniquement composé de vermentinu, un cépage autochtone, en l’occurrence planté en haute densité. Celui-ci fait l’objet d’une culture minutieuse et bio. En cave, la vinification est peu interventionniste : les levures indigènes enclenchent les fermentations, les intrants n’ont pas leur place dans le processus et le soufre est utilisé de façon homéopathique seulement.
Il en découle un vin qui s’apprécie très volontiers dans sa jeunesse pour sa jolie robe jaune pâle qui, ornée d’un disque épais s’étend en bouche dans un registre velouté. Des saveurs de miel, d’amande fraîche, de fruits charnus à noyaux et de fleurs jaunes se font sentir et nous laissent la possibilité d’envisager des accords gastronomiques généreux (poissons gras, courgettes farcies au brocciu…)
Vin de France Mursaglia Nicolas Mariotti Bindi se sert à une température de 12°C. Il s'accordera parfaitement avec les plats suivants : Courgettes farcies au brocciu et à la menthe, Velouté de fenouil et de pommes de terre, Saumon au four et beurre blanc citronné.
A la tête de la Cantina di Torra, Nicolas Mariotti Bindi qui, après des études de droit à Paris, a totalement changé d’univers professionnel en se tournant vers le vin et en créant son propre domaine. Fort d’un savoir-faire acquis auprès de vignerons du Beaujolais mais, surtout, de certaines grandes figures de l’Île de Beauté (Antoine Arena, Leccia, Giudicelli), il nous propose cette cuvée Mursaglia, un vin blanc uniquement composé de vermentinu, un cépage autochtone, en l’occurrence planté en haute densité. Celui-ci fait l’objet d’une culture minutieuse et bio. En cave, la vinification est peu interventionniste : les levures indigènes enclenchent les fermentations, les intrants n’ont pas leur place dans le processus et le soufre est utilisé de façon homéopathique seulement.
Il en découle un vin qui s’apprécie très volontiers dans sa jeunesse pour sa jolie robe jaune pâle qui, ornée d’un disque épais s’étend en bouche dans un registre velouté. Des saveurs de miel, d’amande fraîche, de fruits charnus à noyaux et de fleurs jaunes se font sentir et nous laissent la possibilité d’envisager des accords gastronomiques généreux (poissons gras, courgettes farcies au brocciu…)
Rien ne destinait Nicolas Mariotti Bindi à devenir vigneron, mais après des études de droit à Paris, il décide de rentrer dans son île natale (Corse) pour y créer un domaine viticole. Il fait d’abord ses classes dans le Beaujolais puis auprès de domaines régionaux à la belle réputation, tels que celui d’Antoine Arena, de Muriel Guidicelli et de Leccia. Et ce, avant de signer ses premiers vins sur les terroirs de Pastroeccie et Porcellese sur cinq hectares prêtés. Il s’installe enfin dans son propre domaine à Oletta en 2015 sur deux hectares, qu’il plante en haute densité de cépages autochtones, vermentino pour les blancs et nielliuccio pour les rouges. Des rachats de parcelles portent désormais le domaine à quinze hectares cultivés en agriculture biologique, que Nicolas Mariotti Bindi met en valeur en cave à travers une approche parcellaire. Les vinifications se veulent naturelles, sans intrants, si ce n’est de faibles doses de soufre. Et ce, afin de donner naissance à des vins charnus et veloutés.
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