Présentation du lot

Prestige rosé Taittinger

La cuvée

Ce champagne rosé rassemble des vins rouges tranquilles (15%) issus des meilleurs crus de la Montagne de Reims (qui est réputée pour son pinot noir) et des Riceys, complétés par une bonne proportion de chardonnay (30%).
Concernant la vinification, ce champagne est un assemblage (plus exigeant à réaliser donc), élevé en cuve. La fermentation malolactique a été réalisée, quant au dosage, celui-ci est brut (entre 6 et 12 grammes par litre).
A la dégustation, sa robe intense, rose vive, présente des bulles d'une grande finesse. Le nez est particulièrement expressif, ample et riche en notes de fruits rouges frais (de la framboise, du cassis et de la cerise). La bouche est tout aussi fruitée et veloutée, également corsée.
Ce champagne dévoile une charpente capable d'accompagner des apéritifs ou des desserts. N'attendez pas des années pour servir ce vin bien frais (8°C) … en bonne compagnie, bien sûr ! Accordez-le donc à une pâtisserie comme un Paris-Brest, un sorbet aux fruits rouges ou à des brochettes de jambon au melon.

Le domaine Taittinger

Les champagnes Taittinger tirent leurs origines de la maison de négoce Jacques Fourneaux, créée en 1734. Cette dernière s'installe au XIXe siècle dans la Maison des Comtes de Champagne. Gérée par la famille Taittinger à partir de 1931, la maison finit par en prendre le nom et décide, dès l'année qui suit, de donner la part belle au chardonnay. De 1945 à 1960, le fils de Pierre Taittinger, François, la dirige avec ses deux frères, Jean et Claude. Après sa mort accidentelle, la maison passe aux mains de Claude de 1960 à 2005, année où elle est vendue à un fonds de pension américain, avant d'être rachetée par la Caisse régionale Nord-Est du Crédit Agricole, en collaboration avec Pierre-Emmanuel Taittinger, neveu de Claude. Enfin, c'est aujourd'hui sa fille, Vitalie, qui en tient les rênes.
Cette maison historique dispose de crayères gallo-romaines uniques et d'un patrimoine viticole exceptionnel de près de 300 hectares de vignes. Son vignoble est composé à 40% de chardonnay, d’ailleurs travaillé en rondeur grâce à des fermentations malolactiques complètes.

Lire l'article du Journal sur la maison Taittinger