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Un grand monthélie blanc premier cru nature, signé Philippe Pacalet ! Plus d'info
Ce monthélie premier cru est issu des vignes du climat Château Gaillard. Le terroir y est argilo-calcaire, avec un sol de pierres et s’argiles. Les chardonnays viennent de porte greffe qualitatifs. Les vignes sont plantées avec une densité de 10.000 pieds à l’hectare. Le rendement est maîtrisé (entre 30 et 40 hectolitres à l’hectare). La viticulture est durable et respectueuse de l’environnement. Les vendanges sont manuelles et les tris rigoureux.
En cave, les raisins entiers sont pressés. Un léger débourbage a lieu, juste avant la mise en pièce. La fermentation alcoolique est naturelle (levure indigènes) et la malolactique est réalisée. S’en suit l’élevage en réduction, en pièce bourguignonne pendant près de 13 mois. Il n’y a pas de soutirage, ni de remuage, ni de soufre durant toute cette période. Le vin révèle à la dégustation une belle minéralité, avec des notes grillées et de fleurs blanches. Complexe et équilibré, ce vin pourra se garder quelques années en cave.
Monthélie 1er Cru Château Gaillard Philippe Pacalet se sert à une température de 12°C. Il s'accordera parfaitement avec les plats suivants : Bar au four, Quiche Lorraine, Sole meunière.
Ce monthélie premier cru est issu des vignes du climat Château Gaillard. Le terroir y est argilo-calcaire, avec un sol de pierres et s’argiles. Les chardonnays viennent de porte greffe qualitatifs. Les vignes sont plantées avec une densité de 10.000 pieds à l’hectare. Le rendement est maîtrisé (entre 30 et 40 hectolitres à l’hectare). La viticulture est durable et respectueuse de l’environnement. Les vendanges sont manuelles et les tris rigoureux.
En cave, les raisins entiers sont pressés. Un léger débourbage a lieu, juste avant la mise en pièce. La fermentation alcoolique est naturelle (levure indigènes) et la malolactique est réalisée. S’en suit l’élevage en réduction, en pièce bourguignonne pendant près de 13 mois. Il n’y a pas de soutirage, ni de remuage, ni de soufre durant toute cette période. Le vin révèle à la dégustation une belle minéralité, avec des notes grillées et de fleurs blanches. Complexe et équilibré, ce vin pourra se garder quelques années en cave.
Descendant d'un ancêtre vigneron dès 1780 et neveu du pape des vins nature du Beaujolais Marcel Lapierre, Philippe Pacalet, diplômé d’œnologie, a fait ses premiers pas professionnels à ses côtés. Devenu spécialiste des levures indigènes et des vinifications non interventionnistes - il aime à répéter "Il faut veiller à laisser l'effet se faire pour que l'effet se fasse" - à son tour, il a ensuite exercé au Prieuré Roch avant de créer sa propre structure, un modèle précurseur. L'idée de ce micro-négoce, est de travailler 15 hectares de vignes en sélection massale pour lesquelles il a des contrats d'achats vis-à-vis de la récole, ce sont des parcelles bien exposées et cultivées, réaliser lui-même les vendanges, vinifier et élever les vins selon sa philosophie et de commercialiser les flacons produits (environ 50 000 bouteilles par an).
La clé de son succès ? Une volonté de révéler les terroirs, des vinifications minutieusement menées, le choix de méthodes non interventionnistes et l'ajout de doses minimes et maîtrisées de soufre. Ses vins « très naturels » sont dotés d'un équilibre saisissant et, pour la plupart, d'une très bonne capacité de garde.
Lire l'article du Journal iDealwine sur Philippe Pacalet
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